Un tribunal militaire a condamné un soldat néo-zélandais pour tentative d'espionnage pour une puissance étrangère – la première condamnation d'espionnage de l'histoire du pays.
Le soldat a proposé de remettre un officier infiltré qui prétend être un agent pour que la nation étrangère remette des cartes et des photos de base militaires, comme le tribunal l'a appris.
Le nom de l'homme, le pays pour lequel il a tenté d'espionner, et le nom de l'officier caché qui l'a cassé a été supprimé par la Cour.
Le soldat a essuyé les larmes lorsque les preuves ont été formulées contre lui, les proches parents étant présents devant le tribunal pour soutenir.
Sa femme a également pleuré pendant que son père se penchait à plusieurs reprises en avant, sa tête dans ses mains.
Le tribunal a accepté le plaidoyer coupable du soldat lundi, mais l'audience a continué à permettre au comité de déterminer une sanction attendue dans quelques jours.
Le soldat a été le premier à être reconnu coupable d'un tribunal néo-zélandais pour espionnage, et le second seul, qui a été traduit par le tribunal après qu'un ancien fonctionnaire a été acquitté par Spy en 1975.
Il a admis, a essayé d'essayer d'accéder à un système informatique à des fins malhonnêtes et d'avoir sciemment une publication offensive.
L'homme avait des copies d'une vidéo en direct de mars 2019 de 51 cordes dans deux mosquées de Christchurch par le suprémaciste blanc Brenton Tarrant.
Le soldat est devenu une personne d'intérêt après l'attaque de Christchurch lorsque la police est descendue dans les groupes extrémistes à droite, comme le tribunal l'a appris.
Au cours de la surveillance de lui, le gouvernement néo-zélandais savait qu'il avait «contacté un tiers, soulignant qu'il était un soldat qui a émergé après un résumé convenu du procureur.
Un responsable caché a ensuite contacté l'espion potentiel et a prétendu provenir de cette nation étrangère.
Le soldat a dit qu'il pouvait “offrir des cartographies et des photos, et il pourrait éventuellement apporter un appareil caché au siège de l'armée”, a entendu le tribunal.
Il a fourni des répertoires téléphoniques de plusieurs camps militaires, y compris des informations classées comme limitées.
L'homme a offert une évaluation des faiblesses dans l'entrepôt militaire de Linton ainsi que des codes d'accès et des informations qui permettraient un accès non autorisé à l'entrepôt et près d'Ohakea Airbase, comme le tribunal l'a appris.
Lors d'une fouille de la maison de l'homme, les munitions de service ont été trouvées, tout comme un disque informatique avec un enregistrement vidéo du tournage de la mosquée de Christchurch et du manifeste du tireur.
Dans un affidavit que le soldat avait écrit et lu de son avocat devant le tribunal, il a admis être membre des groupes extrémistes Action Zealandia et le mouvement Dominion.
“Les deux groupes ont été une expérience positive pour moi”, a-t-il déclaré.
Il a dit que les membres ne s'étaient jamais impliqués dans une activité défavorable et qu'ils n'étaient “pas de groupes terroristes”.
Le soldat a dit qu'il avait compris pourquoi les membres de ces groupes ont été examinés à Christchurch après les tirs de la mosquée, mais ont dit qu'il ne tolérait pas l'attaque et l'a trouvé “choquant”.
Il a accusé les enquêteurs d'être “agressif” et “violent”, et a déclaré qu'il avait été interrogé de “manière très conflictuelle”.
“Tout ce que je voulais faire était de quitter la Nouvelle-Zélande et d'accéder à ce que je pensais. C'était ma seule motivation.”
Le tribunal de guerre était devant un comité de trois officiers militaires élevés et juge et devrait se présenter pendant au moins deux jours.
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