Joe Armon-Jones est depuis longtemps au sommet de la scène jazz florissante de la Grande-Bretagne, qui combine des grooves profonds, une improvisation exploratoire et une gamme sonique omniprésente. All the Quiet: Volume 1, la dernière offre de ses propres registres Aquarii, marque son projet auparavant ambitieux dans l'un des deux volumes qui appuient son son dans de nouvelles zones. Après l'année de 2019 à Clear View et un certain nombre de coopérations de haut niveau, cet album Armon-Jones, qui affine sa fusion caractéristique du jazz, du funk et du dub, et en même temps ajouter une variété de musiciens et de chanteurs talentueux pour étendre sa vision. Le résultat est un enregistrement qui fait du bien dans la tradition et le front et est plein d'énergie rythmique et d'instrumentation luxuriante.
Dès le début, tout le monde établit la paix: Volume 1 Une atmosphère indubitable. Les Lifetones d'ouverture établit immédiatement le monde de l'album, ses lignes de basse Tumbling et la percussion tourbillonnante, qui cède la place à un groove radio jazz difficile pour les cornes et les rythmes appliqués par le reggae. L'interaction entre le synthétiseur et les boutons Shift assure une sensation d'été chaleureuse, une qualité qui mène sur de grandes parties de l'album. Les pistes et le pardon se poursuivent dans ce sens, par lequel les voix réservées fondent dans les mélodies en laiton, qui cèdent la place à la Tentage Saxony et Rhodes Soli. La capacité d'Armon-Jones à mélanger la structure avec l'improvisation brille parce que la musique est passée sans effort des rainures lisses aux passages expérimentaux plus libres.
L'album de contrastes vit musicalement. Kingfisher se penche en afro-funk, avec un baryton chaud Ashebers avec une ligne de basse imprévisible, tandis que rien de noble ne fournit une formation radio de jazz plus puissante. Eye jure avec Goya Gumbani, une fusion hip-hop jazz expérimentale se produit, avec des basses courbes et des clés chatoyantes captivantes. Même les interludes, comme le danger partout et me montrent, servent de ponts structurels et offrent un espace pour la réflexion avant de repartir dans la rainure.
Les influences afro reviennent sur la citadelle, où les éclaboussures en laiton et en piano mènent à un rythme changeant, presque disco. En attendant, Snakes est un point culminant radio qui entraîne des changements mélodiques cool avec la dynamique sans effort avant de se libérer dans un passage final plus détendu. L'album se termine par Hurch Up and Wait, une pièce de radio de jazz moderne qui se développe doucement, qui est dirigée par des tambours dispersés et le piano latin Rhodes. Entre-temps, la production d'Armon-Jones, qui a été informée par son amour profond pour Dub, ajoute une dimension supplémentaire aux échos et aux effets qui se sentent riches et immersifs.
Avec tout le calme: le volume 1 continue de pousser son son dans un domaine nouveau et passionnant et équilibre la tradition avec l'innovation. En tant que première édition d'un projet en deux parties, cet album n'est pas seulement une déclaration solide dans le jazz contemporain, mais construit également l'anticipation sur le volume 2.
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