Un modèle statistique a été utilisé pour examiner ces relations simultanément en prédisant la probabilité qu'une fille se déclare très heureuse.

Le modèle inclut le statut socio-économique, la communication parent-enfant, les limites de temps d'écran et une interaction entre les limites et la communication.

Les résultats renforcent les tendances dans les figures. La communication parent-enfant domine dans le modèle. Les filles qui déclarent une forte communication sont environ trois à quatre fois plus susceptibles d'être très heureuses que les filles qui déclarent aucune communication. Le statut socio-économique montre une association indépendante plus petite. Les restrictions de temps d’écran ne suffisent pas à elles seules et ne jouent qu’un rôle modeste lorsqu’une communication solide est déjà en place.

Si les téléphones étaient le problème central, les limites s’avéreraient être une solution robuste dans tous les contextes. Ils ne le font pas…

Ce que le modèle d’utilisation compensatoire rejette, c’est une affirmation plus forte. Il rejette l’idée selon laquelle l’exposition aux smartphones est elle-même la principale cause de détresse chez les jeunes et que l’interdiction est donc le remède central. Si cette relation causale était correcte, les seuils montreraient des avantages importants et constants pour tous les ménages, y compris ceux ayant les communications les plus faibles et les niveaux de stress les plus élevés. Ils ne font pas ça.

Et enfin :

Le moyen le plus fiable d'améliorer le bien-être des jeunes est de répondre aux besoins individuels par la connexion plutôt que par le contrôle.

Ce travail dépend de la collaboration et non de la conformité.

Voici l'article complet d'Owen Kellogg, bien sûr, il ne s'agit que d'une seule étude.

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