Mes recherches actuelles à l’Université de Stanford traduisent la baisse des performances en implications sur l’impact économique futur. Des données antérieures montrent clairement que les personnes qui en savent plus gagnent plus. En prenant en compte l'impact des performances supérieures dans le passé sur les salaires, les revenus d'un étudiant moyen au cours de sa vie sont aujourd'hui estimés à 8 pour cent inférieurs à ceux des étudiants en 2013. Étant donné que la croissance économique à long terme dépend de la qualité de la main d'œuvre d'un pays, la baisse des performances se traduit par une baisse moyenne du produit intérieur brut de 6 pour cent pour le reste du siècle. La valeur monétaire de cette croissance réduite représente plus de quinze fois le coût économique total de la récession de 2008.
Voici le commentaire complet, dans lequel il note qu'Eric compare cette baisse à l'impact d'une surtaxe d'impôt sur le revenu de huit pour cent. Je n'ai pas lu cet article, même si je soupçonne que ces estimations s'avéreront controversées quant à la causalité. Bien sûr, classez-le sous « grand si vrai », ne serait-ce qu'en termes de valeur attendue.
L'article d'Eric Hanushek sur l'importance du déclin de la qualité des écoles est apparu en premier sur Marginal REVOLUTION.
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